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On s'est entraîné avec plusieurs membres de l'équipe de France sur le vélodrome de Hyères. C'était bien sympa. En plus, ici, c'est forcément particulier pour moi. C'était une semaine de transition entre les vacances et le retour sur Paris, où on va attaquer les choses sérieuses.
Je suis assez contente de mon retour sur la piste car je pensais que ça allait être beaucoup plus dur que ça. D'entrée, j'ai eu de bonnes sensations. Bon, comme on n'avait pas de chrono, on ne pouvait pas vraiment se jauger sur le temps. Mais pour la reprise, c'est sans doute mieux comme ça. On évite de perdre le moral (rires).
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Mi-septembre (12 et 13), je vais participer à un Grand Prix international à Roubaix. Ce ne sera pas un objectif majeur pour moi mais ça reste une compétition et j'ai toujours envie de gagner sur la piste. Ça permet de se préparer pour la suite. Et puis, il y a des bonnes primes donc c'est forcément intéressant.
Ensuite, il y aura les championnats de France début octobre à Saint-Quentin-en-Yvelines. Ce sera un objectif car c'est sélectif pour les Europe, qui auront lieu en Guadeloupe deux semaines plus tard. Et une participation à la première manche de Coupe du monde qui arrive dans la foulée dépend des résultats aux championnats d'Europe.
Je n'aime pas quand ce n'est pas planifié. Dans ma tête, j'ai besoin savoir où je vais, voir au loin. Mais c'est le choix de l'entraîneur donc on ne peut que le respecter.
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