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Bianchi et sa nouvelle notoriété

Formule 1
Formule 1 - Championnat du Monde

Jules Bianchi et sa nouvelle notoriété

Comme chaque mardi après un Grand Prix de Formule 1, le Brignolais dresse son carnet de pistes dans le journal L'Equipe. Barcelone passé, il évoque notamment les sollicitations dont il fait preuve et la parade du dimanche.

 

Jules Bianchi Marussia Formule 1 2013


Après chaque Grand Prix de Formule 1, Jules Bianchi se confie dans le journal L'Equipe en parlant de sa vie dans le paddock.


Dix-huitième à Barcelone, le Brignolais de l'écurie Marussia revient dans l'édition du 14 mai sur sa notoriété nouvelle au sein du petit monde de la F1 : "Je n'avais jamais eu autant de demandes d'interviews que ce week-end. Tracy, notre attachée de presse, en avait reçu 40, rien que pour moi ! (...) Au total, 25 séances d'interviews. En anglais, en français, et un peu en italien. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais le soir, j'étais lessivé. (...) Il faut apprendre à enrichir le plus possible les réponses, et surtout, ne jamais montrer de signes de lassitude. Ce ne serait pas sympa pour les derniers."

"Il faut qu'ils rêvent, les gamins"

Dans ce carnet de pistes, le Varois parle aussi des séances de dédicaces ("J'aime bien rencontrer tous ces gens, c'est nouveau pour moi. En général, je signe pour les enfants en premier, parce qu'il faut qu'ils rêvent, les gamins. Les adultes aussi, vous me direz.") et des progrès de sa voiture en course ("Ce qu'il faudrait, c'est démontrer par un résultat les beaux progrès qu'a faits la Marussia depuis Bahreïn. Huit dixièmes de mieux, c'est ce que nous avions à Barcelone. Dommage que j'ai eu cet incident au départ.")

Une grande partie est consacrée à la parade du dimanche midi, qui précède la course : "C'est toujours bien la parade. On a un peu l'impression d'être les dieux du stade (rires) (...). Sur le plateau, je me retrouve souvent avec Grosjean, Alonso, Massa, Vergne. Et Hamilton aussi. C'est l'occasion de parler ensemble, de tout et de rien, de rigoler un peu, de partager nos expériences (...) Dimanche, on a fait la parade à bord de voitures anciennes. La mienne était une Ford de 1922. J'avais un chauffeur et j'étais à l'arrière, pour saluer la foule. Royal !"

Mais le Niçois de naissance est déjà tourné vers le prochain Grand Prix qui aura lieu dans deux semaines ... tout près de la préfecture des Alpes-Maritimes : "Je vous donne rendez-vous à Monaco."


 

 

 

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