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Bianchi aime « être accompagné »

Formule 1
Formule 1 - Championnat du Monde

Jules Bianchi aime « être accompagné »

Chaque mardi après un Grand Prix de Formule 1, le pilote varois dresse un carnet de pistes dans le journal L'Equipe. Après Montréal (où il a terminé 17ème), il parle de la présence de son ami Adrien Tambay à ses côtés.

Jules Bianchi Marussia Formule 1 2013


Après chaque Grand Prix, Jules Bianchi se confie dans le journal L'Equipe en parlant de sa vie de pilote de Formule 1.

À Montréal, le Brignolais était accompagné de l'un de ses amis, Adrien Tambay (NDLR : fils de Patrick, l'ancien pilote de F1) : "J'ai partagé tout ce Grand Prix du Canada avec Adrien Tambay. Nous nous connaissons depuis longtemps, nous avions couru ensemble chez ART Grand Prix en F3, en 2009. Il est parti disputer le DTM, le Championnat allemand de voiture de tourisme".

Le Varois admet qu'être accompagné l'aide beaucoup à décompresser avant la compétition : "On parle d'autres choses durant le week-end, on plaisante entre les séances, cela me détend et permet d'évacuer la pression (...). J'aime avoir auprès de moi d'autres gens, extérieurs à mon travail. Certains disent que ce n'est pas forcément bien de venir avec un copain ou d'être accompagné par trop de personnes, car on est là pour travailler. C'est vrai, mais on ne sort pas le soir, non plus ! Je m'implique dans mon travail exactement de la même façon. Simplement, quand j'ai du temps libre, je peux parler un peu d'autre chose."

"On a choisi la même stratégie qu'Adrien en Autriche"

Le fait que Tambay fasse également des courses de voiture en compétition fait dire au pilote de Marussia que sa compagnie est précieuse : "Il est pilote professionnel lui aussi, il sait ce que c'est d'être sous pression tout le temps. Il comprend que, parfois, on a envie d'être isolé. Il ressent sans doute un peu plus à l'avance les moments où il faut me laisser tranquille (...). Nous avons aussi discuté de la façon de rouler, quand il y a eu des situations un peu compliquées, à cause de la météo changeante (....). Dans l'avion, pour venir à Montréal, il m'avait parlé de sa stratégie de course lors d'une manche qu'il a courue récemment. Cela m'a fait réfléchir et lorsque, avant le Grand Prix, dimanche, j'ai fait le point avec mes ingénieurs, il y avait plusiquers stratégies de course possibles. L'une d'elles ressemblait à celle d'Adrien, en Autriche. On l'a choisie."

En bon ami, Bianchi donne rendez-vous à Tambay pour une manche de DTM, au mois de juillet, sur le circuit de Nuremberg.


 

 

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